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Au Pôle santé sud, du neuf pour les services urologie et ophtalmologie

Au Pôle santé sud du Mans (Sarthe), des travaux ont été réalisés dans le bâtiment, qui regroupe les services urologie et ophtalmologie. L’objectif ? Développer l’offre de soins en faveur des patients. Le montant du chantier s’élève à plus d’un million d’euros.

Le Dr Michel Belas, chirurgien urologue et Caroline Jund, directrice du Pôle santé sud du Mans (Sarthe), à l’entrée du nouveau service urologie. | OUEST-FRANCE
Le Dr Michel Belas, chirurgien urologue et Caroline Jund, directrice du Pôle santé sud du Mans (Sarthe), à l’entrée du nouveau service urologie. | OUEST-FRANCE

Des locaux plus grands, plus confortables et plus agréables. Fin juin 2021, les services urologie et ophtalmologie du Pôle santé sud du Mans (Sarthe) ont pris leurs quartiers au sein du « plot D », nouvelle version.

À l’étage, entièrement aménagé, le service urologie est désormais regroupé. « Cet aménagement nous permet de centraliser les endoscopies, nos consultations et celles de nos infirmières. C’est un plateau complet, une sorte de Maison de l’urologie », présente le Dr Michel Belas, chirurgien urologue.

« La plus grande équipe d’urologues du département »

Cet agrandissement coïncide avec l’arrivée d’un sixième urologue, « ce qui fait de nous la plus grande équipe du département».
Parmi les projets, le Dr Belas espère créer un bloc externe en 2022. « Il sera utilisé dans le cadre de nouvelles technologies, sans anesthésie locale, pour éviter des passages au bloc, espère le médecin. Il nous permettra de réaliser des ondes de choc pour traiter les problèmes d’érection ou encore soigner les problèmes d’adénome de la prostate, en utilisant de l’eau haute pression. »

À l’autre bout de l’étage, on retrouve les deux orthoptistes du groupe OphtaMaine. Avec du matériel flambant neuf, les deux praticiens réalisent les bilans visuels auprès d’une centaine de patients au quotidien. Au rez-de-chaussée, les trois ophtalmologues – « bientôt quatre », peuvent enregistrer jusqu’à « 250 consultations » certains jours. « Avec cette réorganisation, nous espérons faire entrer davantage de patients, qui ne sont pas suivis, pour réaliser des dépistages glaucomes, DMLA ou encore de la cataracte », souligne un ophtalmologue. Le coût des travaux, lancés en décembre 2020, est évalué « à un peu plus d’un million d’euros », confie la directrice, Caroline Jund.

Source : Ouest France